Retour (tardif mais inspiré) sur le Super Challenge de l’Avent
Quand on ne filme plus, on oublie comment on filme ! (Et ça se voit)
Cela faisait un moment que je n’avais pas sorti de vidéo de processus créatif… Et comme toute chose qu’on ne pratique pas, ça se perd ! Entre les cadrages hasardeux, les oublis d’enregistrement et les petits loupés techniques, cette vidéo est un bon exemple de ce qui arrive quand on essaie de reprendre après une pause.
Mais bon, c’est le jeu, et j’ai décidé de partager cette page avec vous malgré tout, parce que la créativité, c’est aussi accepter l’imperfection.
Oui, c’était un challenge de décembre… mais la créativité n’a pas d’expiration !
Je suis un peu en retard pour vous parler du Super Challenge de l’Avent, un défi créatif lancé chaque année par Eugénie, alias @supermamadesvosges sur Instagram.
Chaque jour de décembre, un nouveau mot-clé est proposé pour inspirer des créations artistiques en art journal, mixed media, collage, etc.
Si vous voulez découvrir son univers, c’est par ici :
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Même si décembre est loin derrière nous, les défis créatifs ne se périment pas ! J’ai donc décidé de prendre mon temps et d’explorer le thème du jour qui m’inspirait : CHUCHOTEMENTS.
Mon processus créatif : Faire parler le silence
Pour représenter le chuchotement, j’ai voulu jouer sur :
✔️ Une palette de couleurs douces et tamisées 🖌
✔️ Des collages de textes pour évoquer les murmures et non-dits 📜
✔️ Un portrait dessiné, avec la bouche barrée, pour symboliser les paroles étouffées ✍️
J’aime l’idée que parfois, l’art chuchote là où le monde crie. Parce que dans un univers où tout va trop vite, où les opinions fusent sans filtre, prendre un instant pour écouter le silence, c’est presque un acte de résistance.
Une vidéo (un peu bancale, mais on s’adapte )
Avec les réseaux sociaux, on est dans une époque où tout le monde parle tout le temps. On débat sur tout, on commente tout, on réagit à tout… Et si on arrêtait un peu ?
Moi, j’aime le silence qui fait place à l’imaginaire. J’aime ces moments où l’on n’a pas besoin de mots pour ressentir. J’aime laisser l’art s’exprimer sans hashtags ni légendes.
Comme le disait Paul Valéry :
« Le plus profond, c’est la peau. »
Je vous laisse avec cette page qui murmure sur le papier… pendant que le reste du monde continue de hurler dans le vide.
À bientôt pour d’autres aventures créatives (et promis, la prochaine fois, j’essaie de ne pas oublier d’appuyer sur « Enregistrer » ).
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